par Vincent Arénal, étudiant en L1, ENSA Nantes

La poussière de plâtre déclenche le détecteur de fumée… bah c’est pas mal hein ! c’est pas mal du tout… » dixit mon père en plein travail de ponçage des murs du couloir d’en bas. Se recentrer sur soi et son foyer, telle est l’activité plébiscitée en ces temps d’isolement. Le quartier et maintenant la maison vivent au rythme des tondeuses, scies circulaires, ponceuses et autre perceuses. Dans une cacophonie vivifiante, les habitants du quartier habitent et réhabilitent, rangent et nettoient.

Du fait que ce quartier d’habitations soit d’habitude si calme, les bruits du voisinage (tondeuses à gazon, percements, découpes, nettoyages au Kärcher…) résonnent d’autant plus fort. Cette impression est renforcée par le silence des rares voitures et avions passant dans le secteur habituellement.

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